En silence dans mon manteau
j'attendais la nuit pour dormir debout
dans le noir avec mes lunettes fumées
c'est sûr que j'me cognais partout
et comme t'as pu voir...
Tu m'as fait du bien pis en plus tu restais dans mon coin
Imagine tous les souvenirs de nos voyages dans l'espace
qu'on pourra s'raconter mais qu'on ait perdu nos tignasses
j'irai encore te porter des fleurs dans ton gazébo
et tu m'diras gentiment que j't'un peu gros
et en effet...
ta gentillesse aura jamais été un boulet
La lune dans les yeux des passants fantômes
laissera la place au soleil qui sortira comme une crêpe du micro-ondes
on se prendra par la main, les rayons dans l'dos
et on suivra nos ombres jusqu'au bord de l'eau
supported by 7 fans who also own “Toi, moi, l'univers”
En écoutant du Gros Mené, est-ce que je ressens les plaisirs ou l'écueil des sens? Aaaouais! Je dérive d'excitation sensorielle incontrôlée!!! Nirvana... Morvana un peu aussi, puisque ça sort la méchante statique cognitive encrassée de mon savoir dégustativement conforté dans la bienveillance d'une vie trop prévisible, trop engoncée, trop régentée, trop cadenassée,... trop trOP TROP TOUTTE! St-Sirop (ou cris. d'ost. de tabarn)!.... et la musique de Gros Mené s'est tue... Trop bon je réécoute.. Maison Planàterre